Le bébé, mon milliardaire et moi

Le bébé, mon milliardaire et moi Auteur : Rose M. Becker Editeur : Editions Addictives Sortie : 4 février 2015 Romance érotique soft Au moment où elle se rend à l’entretien d’embauche qui peut changer sa vie, Kate Marlowe manque de se faire piquer son taxi par le plus irrésistible des inconnus. Avec le bébé de sa défunte sœur à charge, ses factures en retard et ses loyers impayés, elle ne peut pas laisser filer cette voiture. Ce travail, c’est sa chance ! Ni une ni deux, elle décide de prendre en otage le bel étranger... même s'il y a de l'électricité dans l'air. Entre eux, l’attirance est immédiate, foudroyante. Même s’ils ignorent encore que cette rencontre va changer leur vie. À jamais. Tout oppose la jeune débutante, impulsive et spontanée, au richissime PDG, énigmatique et ténébreux. Tout… ou presque. Car Kate et Will sont liés par un secret qu’ils vont bientôt découvrir… à leurs dépens. Mon avis : A la lecture du résumé, j'ai d'abord pensé être tombée sur un de ces romans qui surfent sur l’engouement autour de 50 nuances de grey sans créer de véritable fond pour leur histoire; en effet, Kate, jeune femme inexpérimentée et timide, rappelle étrangement une certaine étudiante et Will un autre richissime PDG. Mais, dès les premières pages, j'ai été rassurée de trouver une jeune femme de 23 ans au caractère bien trempé, que la vie à déjà endurcie avec la perte de ses parents et la charge de son neveu et un Will pétillant et mordant, bien loin de l'image torturée de Christian. Malgré un début un peu trop niais à mon goût ( combien on nous l'a fait le coup du bel inconnu qui électrise du regard avec des yeux aussi profonds que la mer, ect ? ) j'ai rapidement accroché à l'intrigue et aux personnages irrésistibles comme le petit ami macho de la meilleure amie de Kate qui semble tout droit sorti de la mafia russe ou la baby-sitter gothique qui aurai pu inspirée Florence Foresti. J'ai d'autant plus apprécié ma lecture qu'elle m'a souvent rappelée un autre roman que j'aime, Le Diable s'habille en Prada. En effet, comme Andréa Sachs, Kate est perdue dans un univers plein de Louboutin et autres marques inconnues et commet de nombreux impairs en ne reconnaissant pas des personnalités connues. Kate est aussi épaulée par un collègue bien veillant et à la pointe de la mode aux airs de Nigel. J'ai hate de me plonger dans la suite !

Ma note : ♥♥♥♥